reserver-taxi-application.png

Réservez en un clic votre taxi à Strasbourg

Top Drivers est le moyen le plus facile pour obtenir son taxi à Strasbourg. Il suffit d'un clic, et voilà votre Taxi directement chez vous. Votre chauffeur de taxi Strasbourg connaitra votre destination. Et vous pouvez payer en espèces ou être prélevé directement via l'application. Vous obtenez via l'application téléchargeable sur notre site l'estimation de la course. Nos taxi à Strasbourg sont à votre disposition et ravi de vous servir.

PLUS DE RAISONS

Un choix de véhicule selon vos besoins

Estimer le prix de votre course

Prêt à tout moment, en tout lieu

Voyage quotidien. Errer à travers la ville. Vol tôt le matin. Soirée tard la nuit. Peu importe la situation, compter sur Top Drivers pour vos besoins en transport.

PLUS DE RAISONS
taxi géolocalisé

Estimate commute time

See travel time and directions for places nearby

taxi tarification

Low-cost et service de luxe

Vous pouvez demander tous les jours des chauffeurs à des tarifs communiqués à l'avance. Mais parfois votre besoin est plus espacé. Ou vous souhaitez un service sur mesure. Avec Top Drivers, votre choix est primordial.

PLUS DE RAISONS

Derrière le vollant

Ce sont des gens comme vous, qui vont à notre rencontre

Ce qui rend l'expérience Top Drivers vraiment géniale, ce sont les gens derrière le volant. Ce sont des mères et des pères. Etudiants et enseignants Anciens combattants. Voisins. Copains. Nos partenaires conduisent leurs propres voitures, selon leur propre horaire, dans des villes grandes et petites. C'est pourquoi plus d'un million de personnes dans le monde se sont inscrites pour conduire.

POURQUOI CONDUIRE AVEC Top Drivers
devenir-taxi
taxi tarification

Aider les villes Pour le bien de tous

Une ville avec Top Drivers a plus d'opportunités économiques pour les résidents, moins de conducteurs ivres dans les rues, et un meilleur accès au transport pour ceux qui n'en ont pas.

NOTRE IMPACT LOCAL

La sécurité avant tout

Que ce soit sur la banquette arrière ou à l'avant, chaque partie de l'expérience Top Drivers a été conçue autour de votre sécurité.

COMMENT GARANTIR VOTRE SECURITE
taxi securité

Y aura-t-il des taxis volants à Paris pour les JO 2024 ?

Une filière «Mobilité aérienne urbaine» est lancée ce mercredi en Île-de-France, à l'aérodrome de Pontoise. Objectif immédiat : mener des tests de vol et déployer un service pour les JO de Paris.

Pourra-t-on bientôt prendre un taxi volant à la sortie de l'aéroport Charles-de-Gaulle et se retrouver quelques minutes plus tard en plein cœur du quartier d'affaires de La Défense ? S'il s'apparentait jusqu'à maintenant à de la science-fiction, ce rêve est en passe de se concrétiser. Beaucoup d'acteurs économiques y croient, et la recherche comme les présentations dans ce domaine se sont accélérées ces dernières années. Ce mercredi, la région Île-de-France, le groupe ADP, la RATP et l'entreprise allemande Volocopter franchissent une étape supplémentaire en lançant officiellement la filière Mobilité aérienne urbaine en Île-de-France, lors d'un événement organisé à l'aérodrome de Pontoise. Objectif : montrer que les acteurs franciliens sont déterminés à capitaliser sur les «eVTOL», ces avions électriques à décollage et atterrissage vertical.

Cette cérémonie poursuit trois objectifs, explique la région Île-de-France au Figaro. D'abord, le groupe ADP officialise l'utilisation de son aérodrome de Pontoise comme «zone de test» pour cette technologie de transport. «ADP avait une réflexion sur ce business, et ils ont décidé d'utiliser ce lieu car il a une tour de contrôle, des infrastructures en bon état et un trafic aérien relativement faible». Pontoise sera donc un «bac à sable» sur lequel des essais pourront être lancés, afin de mieux comprendre les eVTOL, leurs atouts, leurs enjeux et leurs défis, notamment juridiques. «L'objectif est de tester, notamment pour mieux définir la régulation. Le certificateur européen, l'EASA, est dans la boucle, et la DGAC est intéressée et volontaire», explique-t-on, en rappelant qu'il n'existait jusqu'alors pas de «lieu d'accueil, de test, pour faire émerger cette filière et ses acteurs, au contraire de ce que d'autres pays ont fait». Ensuite, la rencontre ce mercredi est l'occasion pour ces acteurs de montrer leur intérêt et leur engagement à développer cette technologie dans les années à venir. Déjà testée dans plusieurs villes des Émirats, des États-Unis ou d'Allemagne ainsi qu'à Singapour, cette nouvelle manière de se déplacer risque bien d'apparaître dans nos cieux d'ici cinq à dix ans. La région souhaite donc en profiter, en étant actrice. «Volocopter, l'entreprise la plus en pointe aujourd'hui dans ce domaine, va venir faire des tests et nous présentera sa maquette d'avion», se félicite-t-on. Le lancement d'une filière a également un intérêt industriel, l'Île-de-France étant la plus grande région aéronautique de France, en termes d'emplois. «Une partie du secteur voit son avenir avec ces engins, qui sont des véhicules propres, moins bruyants et électriques», décrit l'exécutif. Airbus, Safran... Des géants veulent prendre ce train en marche avant qu'il ne quitte la station. Développer la filière pourrait avoir un intérêt économique majeur dans les prochaines années, à mesure que le marché se développera. De quoi entraîner d'importantes créations d'emplois dans l'industrie locale, plaide-t-on. Le lancement d'une filière répond enfin à un enjeu stratégique : donner l'image d'un pays moderne, capitalisant sur des technologies d'avenir et prêt à faire des paris sur l'avenir. La région va ainsi lancer un appel à manifestation d'intérêt international pour que les acteurs intéressés sur «les engins, les infrastructures» puissent entrer dans la danse. «On ouvre le jeu» aux investisseurs, résume l'exécutif. Durant l'événement, est aussi présenté le nouveau modèle d'eVTOL de Volocopter, baptisé Volocity. Muni de dix-huit rotors, celui-ci peut embarquer deux passagers ainsi que leurs bagages à main.

Un calendrier serré d'ici les JO

Les premiers vols tests à Pontoise devraient être lancés entre avril et juin de l'année prochaine. Sur le plus long terme, les autorités espèrent avoir un «service de démonstration» prêt et actif pour les JO 2024, afin d'utiliser cet événement planétaire comme une formidable vitrine et un grand coup d'accélérateur pour le développement de cette technologie. Une course contre la montre est donc lancée pour obtenir les autorisations nécessaires d'ici 2024. «Nous ne sommes pas en retard, mais pas en avance non plus. C'est pour cela que nous souhaitons accélérer. La crise sanitaire a été, en cela, un concours de circonstances intéressant, en forçant à chercher de nouveaux modes de développement, de nouvelles activités industrielles», explique le cabinet de Valérie Pécresse. Et, dans ce dossier des eVTOL, la concurrence internationale est rude, plusieurs pays souhaitant faire voler ces drôles d'engins dans leurs villes en premier.

Une technologie de pointe, mais pour quel public ?

Si la possibilité de se déplacer au-dessus de Paris fait rêver, reste à déterminer quel sera le modèle économique de ce mode de transport, son public ainsi que le coût d'un billet. «Il ne remplacera jamais le RER, ce n'est pas un moyen de transport de masse», précise-t-on. Les voyageurs devraient d'abord être un public d'affaires, désireux de se rendre rapidement dans des nœuds régionaux, comme les aéroports ou à La Défense. Quant au prix, «il devra être abordable, comparable à d'autres modes de déplacement, pour fonctionner». Toutes ces questions trouveront leur réponse ultérieurement : durant les phases de tests à Pontoise, la RATP sera chargée d'une étude, afin d'évaluer les aspects économiques de la filière, la clientèle et l'inscription de ce mode de déplacement dans la chaîne de transports francilienne déjà existante. ADP, de son côté, regardera si ses zones aéroportuaires sont adaptées à l'arrivée de ces véhicules eVTOL. «Le groupe est gestionnaire d'aéroports dans le monde entier. Il pourra donc sans doute exporter son modèle dans ses sites à l'étranger, une fois les tests locaux conclusifs», note-t-on. Il faudra donc attendre plusieurs années avant de pouvoir monter à bord de l'un de ces petits appareils et survoler la région francilienne. Dans un premier temps, une fois lancés, les vols seront pilotés par un individu, non par un ordinateur, précise la région, afin de simplifier l'obtention des autorisations et certifications. Il faudra également faire accepter cette innovation au grand public. Une chose est sûre : les acteurs industriels et publics se lancent dans la course avec un calendrier ambitieux et un pari assumé. Le Los Angeles parsemé de voitures volantes de Blade Runner, imaginé en 1982 et censé prendre place en 2019, n'a qu'à bien se tenir.

Top Drivers est à Strasbourg