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Le groupe américain est accusé de «concurrence déloyale». Plusieurs centaines de taxis s'apprêtent à porter plainte. Uber se défend de toute concurrence déloyale.
Les taxis tiennent-ils enfin leur revanche face à Uber ? Depuis fin juin, les artisans se sont lancés dans la préparation d'une action collective en justice, visant à prouver que le groupe Uber a « capté sauvagement et illégalement une part de marché des taxis » en leur livrant une concurrence déloyale. À ce jour, plus de 1350 taxis ont rejoint l'action lancée par deux acteurs, France Taxi et les Taxis Varois. Tous espèrent obtenir des dommages et intérêt pour le préjudice matériel et moral engendré par les actions d'Uber.
«Les chauffeurs de taxi de la zone côtière m'ont rapporté des faits sur l'incivilité des chauffeurs Uber, et la perte de clientèle qu'ils ressentaient. Derrière, on s'est sentis obligés de réagir, d'enrayer cette dynamique», raconte le patron des Taxis Varois, Laurent Ledentec. Si leur volonté initiale était d'engager une action locale, les conseils de juristes leur ont «donné des ailes», explique-t-il au Figaro : «on a compris que notre projet ne pouvait pas rester local. Il doit être porté par l'ensemble des taxis, pas juste un groupement tartempion qui souhaite faire le cow-boy», ajoute l'homme d'affaires. Débute alors une campagne pour réunir un maximum de soutiens dans la profession, afin de peser face à Uber. Uber «a réalisé un profit illicite» Juridiquement, la stratégie des taxis repose sur deux textes. D'abord, la décision de la Cour de cassation du 4 mars dernier : estimant qu'il existait bel et bien un lien de subordination entre Uber et l'un de ses chauffeurs, l'institution avait requalifié le lien unissant ces deux parties en «contrat de travail». Un coup de tonnerre. «À partir de ce moment, les chauffeurs de taxi nous ont contactés pour assigner Uber en concurrence déloyale», explique l'un des avocats des requérants, Maître Dubucq. «Le modèle économique de la plateforme repose sur le non-respect du droit du travail. Cela leur a permis d'étendre leur emprise et ils ont utilisé cela pour capter le marché avec un prix des courses abusivement bas, au détriment du droit du travail», analyse le juriste. En d'autres termes, c'est, selon lui, grâce à son non-respect du droit du travail que l'Américain a pu s'imposer en France, en cassant les prix. Aujourd'hui, ses clients «disent qu'ils ne peuvent pas se battre loyalement si les règles ne sont pas les mêmes pour tout le monde, et, jusqu'à présent, Uber ne s'y est pas conformé». Un second arrêt de la Cour, daté du 12 février dernier, vient en soutien du raisonnement de l'avocat. Il précise que «lorsque les effets préjudiciables, en termes de trouble économique, d'actes de concurrence déloyale sont particulièrement difficiles à quantifier […] il y a lieu d'admettre que la réparation du préjudice peut être évaluée en prenant en considération l'avantage indu que s'est octroyé l'auteur des actes de concurrence déloyale au détriment de ses concurrents, modulé à proportion des volumes d'affaires respectifs des parties affectés par ces actes». Dit plus simplement, «l'allègement des charges sociales a pesé un poids particulier dans le modèle économique d'Uber, et cette faute lucrative doit être remboursée», résume maître Dubucq. Pour les taxis, Uber a commis une faute – démontrée par la Cour de cassation – en violant le Code du travail. Cette violation a engendré un préjudice aux taxis, à la fois moral – une perte de réputation vis-à-vis des consommateurs, de l'anxiété pour les professionnels – et matériel – une perte de chiffre d'affaires, une baisse des prix des licences de taxi. «Depuis le début, Uber ne respecte pas les règles du jeu. Depuis le début, les Taxis s'en doutaient, et souffrent. Depuis mars dernier, la plus haute juridiction française le confirme. Prenons notre revanche avec le droit», appelle le patron de France Taxi, Lionel Rousvoal. «Uber a bousculé les habitudes, concède Laurent Ledentec. Cela a eu des aspects positifs, en donnant un grand coup de pied aux fesses des taxis, qui manquaient d'aspects qualitatifs et n'offraient pas toujours un service reluisant». Un tableau sombre, qui a poussé la jeune génération de taxis à prendre le taureau par les cornes pour remonter la pente, observe le représentant. «Ces jeunes proposent des voitures haut de gamme, des chauffeurs bien habillés, renseignant les clients, aimables… Autant de petits services dont les clients profitent», dit-il.
Parallèlement, l'arrivée explosive d'Uber, il y a dix ans, a contribué à créer une caricature du taxi, regrette le chef des Taxis Varois. «Il est vu comme un escroc notoire aux prix trop élevés. Or nos tarifs sont réglementés par la préfecture et ils sont le reflet du juste prix !» se défend le professionnel. En outre, le groupe américain a «déstabilisé la quiétude professionnelle» des taxis, les a forcés à amplifier leur charge de travail pour maintenir leur niveau de vie et a conduit à un malaise dans le métier. «Beaucoup ont divorcé ou sont sous pression», ajoute Maître Dubucq. Aujourd'hui, la procédure juridique lancée n'a pas pour première vocation d'obtenir une réparation financière, assure le représentant des Taxis Varois : «on veut surtout assainir le marché et montrer qu'on existe, qu'on ne se laissera pas marcher dessus». Reconnaissant bien volontiers les atouts d'Uber, dont sa «machine de guerre» - son logiciel ayant «dix ans d'avance sur ce qu'on essaie de faire modestement en France» -, Laurent Ledentec précise ne pas se battre contre la modernité, ni contre les chauffeurs VTC ou toute concurrence en soi : «on veut surtout que les plateformes s'adaptent à la loi. S'il existe un lien de subordination caractérisé, les chauffeurs sont des salariés, point barre. Il faut respecter la loi et protéger les travailleurs», s'insurge-t-il. Les taxis continuent de rassembler des participants en ligne jusqu'à fin septembre. L'assignation sera ensuite signifiée en octobre. Pour l'heure, difficile d'estimer le montant des dommages et intérêts demandés : «c'est une multiplication des préjudices subis par le nombre de chauffeurs participants», explique maître Dubucq. La procédure devrait durer entre douze et dix-huit mois, estime l'expert.
Reste que cette affaire est une mauvaise nouvelle pour Uber, déjà empêtré dans des oppositions à travers le monde. Le géant du transport, qui a licencié un quart de ses effectifs durant l'épidémie, s'est recentré depuis peu sur son cœur de métier : la livraison de repas et le transport de personnes. Interrogée par Le Figaro, la firme répond qu'elle «ne s'est livrée à aucune pratique constitutive de concurrence déloyale». Uber rappelle son opposition à la décision de la Cour de cassation. Celle-ci «concerne un cas particulier d'un chauffeur qui n'utilise plus l'application depuis 2017». Elle «n'entraîne pas une requalification immédiate ou automatique de tous les chauffeurs indépendants utilisant notre application», déclare un porte-parole. Le groupe signale par ailleurs des décisions du conseil des prud'hommes de Paris, en juin puis en juillet, dans lesquelles les experts refusent la requalification au motif que le chauffeur n'a pas démontré qu'il y avait «à un quelconque moment de la relation commerciale liant les parties un quelconque lien de subordination». Les chauffeurs utilisant sa plateforme «utilisent l'application [...] si, quand et où ils le souhaitent, peuvent travailler avec d'autres applications et avoir leur propre clientèle privée», répond notre interlocuteur.
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